Le voyage de Nathalie et Jean-Paul, entre amis

Voyager entre amis sur La Flow Vélo : ils racontent !

Comment s’est passé votre trajet ?

Nathalie : On a rejoint La Flow Vélo depuis le Périgord Vert. D’un pays vallonné en Dordogne nous sommes arrivés ensuite en Charentes. Les appréhensions de la reprise se sont vite dissipées : La Flow Vélo, c’est une véloroute extrêmement bien balisée et c’est plat ! Nous avions prévu des vélos électriques. De quoi rassurer mes pauvres mollets, peu habitués à faire autant de vélo. Un démarrage en douceur très appréciable donc ! 
Jean-Paul : Je suis plutôt habitué à faire du vélo de manière sportive. L’itinérance, c’est une autre manière de découvrir le territoire : c’est convivial !

Et la suite du voyage ? Que pourriez-vous dire à propos de cette véloroute ? Etait-ce une expérience plaisante ?

Nathalie : Du cycliste peu expérimenté au plus expérimenté : c’est une balade qui fait l’unanimité. L’alliance de l’eau et du calcaire, le fleuve Charente comme fil rouge, La Flow Vélo est un itinéraire parfait pour découvrir la campagne, à son rythme. Bucolique à souhait ! Coup de cœur pour la ville d’Angoulême dans laquelle on s’y est arrêté pour une nuit. Perchée sur un piton rocheux, le centre-ville est très joli. 
Jean-Paul : Une flânerie touristique des plus plaisantes et accessible à tous ! C’est dépaysant et agréable de prendre son temps pour découvrir la campagne à vélo. C’est certain, en voiture, on serait passé à côté de pépites ! En Dordogne, on a suivi d’anciennes voies ferrées. C’est vallonné, et très varié en termes de paysages. On se laisse guider par le fleuve Charente, avec l’arrivée, face à l’Océan Atlantique. Le cadeau qui signe la fin du voyage !

Avez-vous goûté des mets de la région ?

Nathalie : A Angoulême, nous nous sommes offert un petit plaisir gourmand : la marguerite en chocolat d’Angoulême. C’est un régal, nous n’avons pas boudé notre plaisir.
Jean-Paul : En Dordogne, sans surprise, nous avons mangé du foie gras. Et face à la mer, à Fouras, du poisson ! 
Comment avez-vous choisi vos hébergements ?
Jean-Paul : Le bivouac, ça ne nous disait rien. Nous avons choisi de nous faire un peu plaisir avec des hôtels pour chaque nuit et de préférence des hébergements labellisés « Accueil Vélo » ! Nous repérions d’abord les hébergements sur le site… et hop, nous avons réservé !  Pour plus de facilité, nous avions déjà tout réservé en amont du séjour.

Prêt à repartir, après une nuit de sommeil !  

Carnet de route de leurs hébergements « coup de cœur »

  • Hotel de France et de Russie à Thiviers
    Le + de l’hôtel : Nous avons pu mettre les vélos dans un garage fermé spécialement équipé pour avec prises électriques.
  • Hotel Le Saint Gelais 
    Le retour d’expérience : notre petit plaisir du voyage, nous avons séjourné dans cet hôtel 4 étoiles. Nous y avons bien dormi et bien mangé !
  • Hotel l’Yeuse à Châteaubernard
    Le + de l’hôtel : Tant qu’à pédaler, autant prendre soin de soi avec un spa massage. On ne se prive pas !
  • Château de Bois Charmant 
    Le retour d’expérience : Cet hébergement porte bien son nom : c’est un château de « princesse » ! Les hôtes ont été charmants et accueillants.

Auriez-vous un conseil à donner aux touristes à vélo qui souhaitent s’initier à ce type de voyage ?

Nathalie : Nous avons fait suivre nos bagages d’étapes en étapes pour nous éviter de transporter beaucoup de poids sur le vélo… C’est un vrai plus pour profiter au maximum du voyage ! Nous avons seulement emmené le strict nécessaire :  des barres d’énergie, des fruits, de l’eau, les cadenas pour sécuriser et une trousse de première aide. Si je devais prodiguer un autre conseil, je rappellerais de ne pas oublier ses lunettes de soleil : entre la luminosité et les insectes, c’est un indispensable !

Jean-Paul : Plutôt habitué à rayonner à vélo autour d’une ville dans laquelle on loge pendant toute la durée de nos vacances, c’était une toute première pour notre groupe d’amis de faire de l’itinérance. Cela nécessite de prévoir et d’organiser son séjour pour en profiter au maximum. J’ai donc téléchargé les tracés GPX au préalable, directement depuis le site de La Flow Vélo. Cela rassure de pouvoir suivre simultanément les panneaux et son téléphone, juste au cas où ! Une belle expérience, à recommander à tous !

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